Expérience de féminisation et régression imposées au gîte fétichiste

Catégories : Diaper boy / Little boy FANTASME Selfbondage auto bondage TV trans travesti sissy Gîte fétichistes
il y a 2 ans
Louis, dit Lisa sur les forums, a une vie secrète puis une passion portant sur les vêtements féminins, la féminisation et, si c’était imposé par une Maîtresse ou un Maître, il serait ravi. Le souci est qu’il ne trouve pas de partenaire ou la domina qui accepterait de le prendre sous sa coupe.

Très souvent le soir chez lui, Louis devient Lisa une fois que sa cage de chasteté est fermée. A ce moment là, elle « s’impose » le port de sous-vêtements féminin, d’une robe et de chaussures à talon haut. Dans ses moments de « grande chaleur », Lisa peut aller jusqu’à coller un gode ventouse contre son réfrigérateur pour se donner du plaisir ou se mettre un plug anal pour surfer pendant des heures sur des forums ou sur Fessestivites.

Quand est seul et que l’on dispose des clés de sa cage de chasteté, ou que le soutien-gorge commence à gêner puis que les chaussures à talon font mal aux chevilles, arrivé l’heure du coucher, une grande partie des tenues et accessoires qui ont fait rêver retourne au placard. La seule chose que Lisa arrive à garder certains soir, c’est une chemise de nuit très little et une couche puis une culotte en plastique pour dormir. Ainsi, elle peut devenir une petite fille, au moins dans ses rêves.

Lorsque Louis a découvert que le Gîte fétichiste a ouvert ses portes, il s’est dit « et si j’osai au moins une fois dans ma vie. Et si j’osai me confronter à une sorte de stage en immersion où, je pourrai être femme ou fillette en étant vu ».

Cette idée de stage lui est venue en lisant que le gîte peut vous accompagner dans du selfbondage, de la self servitude et même garder les clés de votre cage de chasteté ou culotte à cadenas.

Louis les a contacté par email au départ. Le responsable du gîte lui a indiqué après X emails, que s’ils n’avaient pas une conversation téléphonique, les discussions par messagerie allaient s’arrêter.

Louis a enfin osé prendre contact par téléphone. Lorsqu’il a décroché le combiné, il était couleur frigo tant il était intimidé. La voix chaude, chantante puis l’ouverture d’esprit de son interlocuteur l’ont emmené à se dévoiler un peu plus. Résultat ? Après trente minutes de conversation, il avait l’impression d’avoir un copain à qui il pouvait tout dévoiler, y compris ses dodos en couches.

Convaincu de pourvoir enfin vivre ses passions, ses fétichismes et toutes ses envies, Louis a immédiatement fait une réservation après avoir raccroché. Au plus la date approchait, au plus il s’excitait le soir, au plus la date approchait, au plus il avait peur dans la journée, quand son esprit s’égarait au travail.

Arrivé à l’aéroport de Saragosse, il a récupéré la voiture louée pour 50 euros les trois jours kilométrage illimité, le prix d’un taxi à Paris pour une courte distance. Le GPS l’a guidé jusqu’au gîte où quand Louis est entré sur la propriété, il s’est presque fait dessus de peur et a presque regretté de ne pas avoir mis une couche. L’apéro de bienvenue a bien aidé à sa décontraction, il est vrai que le rosé bien frais sous la chaleur....

Rapidement mis en condition par le responsable du gîte lui faisant plein de propositions, « malhonnêtes » mais si excitantes, Louis s’est senti des ailes. Oui, il lui donnerait les clés de sa cage de chasteté pour le séjour. Oui, il acceptait de faire les expériences proposées. Après la présentations de quelques meubles particuliers et avoir été accompagné au gîte, mettre la cage de chasteté fut compliqué pour Louis. Et pour cause, sa zigounette était en forme.

Louis devint donc Lisa en vacances.

Sa première expérience fut celle conseillée par le propriétaire du gîte : mettre un maillot de bain féminin, une jupe et un chemisier pour aller faire un peu de bronzage à la piscine. Ce fut la première sortie en femme de Lisa. Rejoint par le Sadique des lieux, Lisa crue défaillir quand, allongée sur un transat en maillot deux pièces, il lui demanda si tout allait bien et si il avait besoin de quelque chose.

La réaction du sadique par rapport à sa tenue, aurait été la même si il avait été en survêtement. Il n’était pas offusqué, ne se moquait pas de lui. Au contraire, les propositions qui suivirent le firent rougir.

  • Vous avez qu’ici, nous sommes ultra décontractés et ouverts d’esprit, si vous désirez rester en maillot pour le repas de midi qui sera servi sur la terrasse, n’hésitez pas ! Prenez juste votre serviette que vous poserez sur la chaise ! Vous pouvez aussi vous changer et venir en jupe si vous le désirez.

Louis se fit v i o l e n c e pour rester en Lisa. Si au départ il était tendu, il se rendit compte que le couple le recevant n’avait rien à faire de sa tenue. Discuter chaussures avec Malicia le mit à l’aise, et c’est là, que le Sadique lui proposa de tester une balade sur la propriété avec des talons hauts qui lui seraient « imposés ».

  • Comment ça, imposés ?

  • Oh c’est simple, vous passez des chaînettes autour de vos chevilles et de vos chaussures puis vous posez des cadenas. Les clés des cadenas seront de l’autre côté du terrain, il vous faudra aller les chercher.

  • Allez, osez, amusez-vous, profitez que vous êtes ici pour vivre vos fantasmes ! Ajouta Malicia.

Louis finit par se laisser convaincre d’aller changer de tenue et d’enfiler ses talons hauts. Pendant ce temps, le Sadique prit son vélo pour aller déposer DES clés à l’extrémité du terrain. A son retour, Lisa portait une robe longue et ses talons hauts. Des chaînettes furent donc posées à ses chevilles puis sous les talons afin que Lisa ne puisse pas les retirer.

Clopin-clopan Lisa partit donc avec les indications nécessaires pour cette ballade en femme en pleine nature. Après trente minutes de marche, elle trouva la boite sur le muré indiqué. Sauf qu’à l’intérieur, il y avait un plan lui indiquant que les clés des cadenas étaient ailleurs sur la propriété. Sur le petit papier il y avait également un smiley clin d’oeil puis la phrase « amusez-vous, profitez de votre séjour ».

Ce n’est qu’une heure plus tard que Lisa arriva à la maison où elle trouva Malicia assise sur la terrasse en train de jouer avec ses chats Maine Coon.

  • En fait il a gardé les clés ce coquin ! Dit Lisa.

  • Oui, comme ça, cela vous permet de constater que pour être belles, depuis la nuit des temps les femmes doivent souffrir. Et encore, vous avez de la chance, il ne vous a pas fait le coup du corset.

  • C’est quoi le coup de corset ?

  • Vous enfilez un corset mais c’est lui qui le ferme à sa manière, le retirer sans son aide n’est pas possible.

  • C’est excitant comme idée !

  • Alors elles sont où les clés de mes chaussures ?

  • C’est lui qui les a mais là, il fait sa sieste.

  • J’ai mal aux pieds !

  • Bienvenue au club des femmes !

UNE HEURE PLUS TARD

Lisa massait ses chevilles au bord de la piscine où elle venait de prendre un bain après avoir été libérée.

Pour le repas du soir, il fut décidé que Lisa serait la soubrette soumise. Enchantée par cette idée, après avoir passé une tenue prêtée par le gîte, elle se laissa équiper d’un plateau qui s’accroche à la taille et aux tétons ou au cou suivant les personnes. Le Sadique ajouta une paire de menottes aux poignets de Lisa qui se retrouva avec les mains bloquées dans le dos. Le plateau de la soubrette fut donc chargé de bol en plastique avec des cacahuètes, un autre avec des chips puis deux gobelets en carton. Un avec du jus de fruits pour madame, un avec du pastis pour monsieur.

Bien décidé à s’amuser un peu, le sadique ouvrir le devant de la robe de soubrette pour que l’on voit son soutien-gorge. Lisa découvrit aussi que le Sadique a la bougeotte. Il passe du barbecue à la terrasse, de la terrasse à la cuisine où elle doit le suivre pour qu’il puisse de désaltérer. Voyant que Lisa s’en sortait pas trop mal, le sadique prit son verre habituel, justement en verre !

  • Si tu les fais tomber et le brise, je m’occupe de ta transformation définitive en te brisant les précieuses ! Lui indiqua le Sadique.

Les grillades terminées, Lisa fut libérée mais dut assurer le service de table. Évoluer en femme au sein de cette famille un peu particulière, lui plaisait beaucoup. La décontraction emmène les confidences et c’est parfois piégeux, surtout au gîte fétichiste. Lisa parla donc d’un de ses échanges avec un membre d’Abkingdom qui rêvait d’avoir une petite fille à s’occuper.

https://abkingdom.com/

Le Sadique lui tira aussitôt les vers du nez pour en savoir plus et c’est ainsi que Lisa, dévoila ses attirances pour la régression et les couches. Que n’avait-elle pas fait là ! ! ! ! Le cerveau du pervers se mit en route et les propositions toujours aussi « « malhonnêtes » » fusèrent. La soubrette apprit qu’elle allait rajeunir vitesse grand V.

  • Va te doucher et mettre une couche, je vais voir si je peux te trouver une tenue !

  • Je n’ai pas de couche monsieur, désolé.

  • Sur ABCplaisir, j’en vends par lot de 3 pour 10 euros car dans l’avion, c’est gênant. Si tu le désires, je t’en passe une de suite d’un lot de 3 et nous rajouterons ça sur ta note.

  • D’accord ! Répondit Lisa toute rouge.

La grande fille ne tarda pas à se retrouver vêtue d’une couche, d’une culotte en plastique puis d’une grenouillère de little qui se cadenasse. Elle accepta l’idée d’être bloquée dans cette tenue pour la nuit.

  • Au cas où, si tu tires cette poignet, il y a un lit de bébé qui se glisse sous votre lit. Il peut aussi se fermer à clé quand tu seras couché dedans !

  • Non, j’ai peur d’être enfermée, je préfère dormir sur le lit ! Répondit Lisa perturbée.

  • J’aurai une petite surprise pour toi demain. Le petit déjeuner vers 8 heures, cela te convient ?

  • Oui monsieur !

  • Allez, je te laisse tranquille et te souhaite une bonne nuit. Sois sage.....

Avec sa cage de chasteté et la grenouillère cadenassée, il était difficile de ne pas l’être pour la petite fille.

LE LENDEMAIN

A son réveil, Lisa sortit sur la terrasse du gîte et fut surprise de voir, une chaise haute pour adulte avec un bavoir posé sur le plateau. Sur la table se trouvaient deux thermos de café mais pas de tasse. A la place, il n’y avait qu’un biberon et de quoi déjeuner. Elle se servit donc un biberon de café avant d’essayer la chaise haute. C’est là que le sadique arriva.

  • Allez miss, installe-toi que je bloque la tablette. Quand tu auras terminé de déjeuner, je te donnerai quelques coloriages à faire, d’accord ?

  • Oui monsieur ! Répondit Lisa qui s’étonna que le Sadique lui pose une sorte de harnais.

  • C’est pour que tu ne tombes pas, ne t’inquiète pas, même si tu es une grande fille, il faut prendre des précautions sur une chaise haute.

Ce que ne vit pas Lisa, c’est que le harnais se broque réellement dans le dos de la très large chaise haute. Se délivrer seul n’est pas possible. Elle le découvrit que lorsque le Sadique l’abandonna avec ses coloriages. Le problème de Lisa est un peu celui de tout le monde. Le matin, il y a du monde qui se presse au petit portillon caché entre les deux collines situées au bas du dos. Ne voulant pas remplir sa couche avec autre chose que du liquide, elle essaya de se libérer pour aller demander les clés de sa grenouillère. En vain, elle ne put que rester assise !

Libérée pour beau dessin et bonne conduite une heure plus tard, le pire fut évité. La petite fille put aller sur le pot des grands toute seule. Comme proposé par le sadique, Lisa le rejoint au potager pour ramasser les légumes du repas de midi. Avec sa petite robe et une petit panier, Lisa avait vraiment l’air une jeune fermière quand elle arriva à la maison où, aidée par Malicia, elle put préparer la salade, couper les tomates et éplucher les aubergines.

Vivre 100 % en femme ne gênait plus Lisa qui proposa même d’aider au ménage. Un peu débordée par les commandes de la boutique ABCplaisir, Malicia sauta sur l’occasion.

(Malicia sauta sur l’opportunité pas Lisa voyons ! )

Voir Lisa vivre ses passions à présent sans rougir plut au sadique lorsqu’il arriva. C’est donc en sa compagnie qu’il prépara un barbecue pour griller des poivrons pour l’apéritif et prépara un lasagne d’aubergine. Pendant le repas, la timide du premier jour osa demander si elle pouvait essayer le cheval espagnol avec la machine à baiser. Le sadique lui promit de l’installer après sa sieste en échange d’un test de corset pendant sa sieste. Malicia avait donc parlé au Sadique !

Elle aida donc Lisa à enfiler un corset et à le serrer avant de l’envoyer voir le Sadique qui passa autour de sa taille une sorte de collier de serrage de plomberie qu’il ajusta à la visseuse électrique. En moins de 30 secondes chrono, Lisa était incapable de retirer le corset sans outils. Il lui souhaita une bonne après-midi et partit faire sa sieste avec sa visseuse !

Si au départ, Lisa apprécia de se trouver bien maintenue dans le corset, une heure plus tard, elle aurait bien aimé en être délivrée. Comme le Sadique se lève de très bonne heure pour travailler, ses siestes font au minimum deux heures. Pendant que les minutes s’égrainaient lentement, Lisa goûta donc à la droiture imposée par cet accessoire que l’on aime voir porter par les femmes. Le Sadique fit durer sa sieste ou ne se montra pas avant 17 heures. Il tint à ce que le café lui soit servi par la soubrette de service sur la terrasse où il décida d’entretenir une conversation avec la soubrette corseté commençant à manquer d’air.

La négociation portant sur sa libération, Lisa accepta sans rechigner d’aller se baigner nue dans la piscine et de goûter au plaisir d’avoir la cage de chasteté ballottant dans l’eau. Alors qu’elle faisait quelques brasses, le sadique arriva avec une couche et une culotte à cadenas.

  • Voilà tes sous-vêtements pour ce soir, par dessus, tu pourrais mettre une petite robe puis nous servir de soubrette si tu le désires ! Lui indiqua le Sadique en emportant l’ensemble des vêtements. Il précisa en partant que si la culotte à cadenas n’était pas bien serrée, il lui remettrait le corset pour la nuit.

Louis savait pertinemment qu’il pouvait tout refuser et qu’il était totalement libre de faire ce qu’il voulait mais cette ambiance de « soumission » lui plaisait bien.

Il rigola tout seul en se rendant au gîte avec comme seul vêtement une couche et une culotte à cadenas.

Que de progrès avaient été faits en un simple week-end. Lui qui n’avait jamais osé sortir en couche ou en femme, et là, le soir même il ferait le service dans cette tenue.

Le gîte fétichiste a pour but de permettre à chacun de se libérer, de vivre ses délires, ses plaisirs sans être jugé. Le pire c’est qu’il ouvre la porte à de nouveaux fantasmes car Louis n’a rien d’un soumis, dans la vie, il est capitaine chez les CRS ! Et là, il prend plaisir à se laisse guider dans ce monde où il ne contrôle plus les évènements, où on s’occupe de lui avec respect.

Lorsqu’il arrive au gîte pour prendre une robe, sur la terrasse, le cheval espagnol a été installé comme promis. Il peut voir sous cette sorte de selle que la machine à baiser a été installée et qu’un gode dépasse là où il ne peut pas s’asseoir pour cause de couche. « L’enfoiré m’allume et joue avec mes nerfs » se dit Louis amusé.

Après l’apéro « bien servi », la mise de table et le service du repas par une soubrette en couche, pour d’éviter qu’elle fasse des pauses « pipi », Lisa se voit remettre la clef de la culotte à cadenas.

  • Je te laisse te libérer seule coquine. Après ta douche, tu mettras la couche dans un sac plastique dans la poubelle et tu auras quartier libre pour la nuit. Au cas où le « dada » fatiguerait trop ta précieuse rose, je te conseille vivement de remettre une couche pour le dodo de la grande fille. Cela évite les fuites grasses.... Je te propose de jouer à pile ou face pour savoir si je te rends les clés de ta cage de chasteté ce soir ou demain matin.

Lisa n’est pas chanceuse au jeu. Elle a donc pu amuser son derrière mais pas son devant ce soir là. Le lendemain, c’est la tête pleine de souvenir que, le coeur gros, elle a quitté le gîte pour reprendre la direction de Saragosse puis de Paris. Elle ne regretta pas d’avoir osé et se promis d’y revenir l’année suivante.

................

Voilà donc la fin de cette histoire érotique qui a pour objectif de vous décrire ce qu’il sera possible de vivre au gîte fétichiste à partir d’avril 2023.

Ce qui est décrit est pour exemple. Cela peut être totalement différent en fonction de VOS envies et fétichismes.

TSM

Le site du gîte fétichiste et BDSM est ici
Visiter sur Youtube le gîte fétichiste et BDSM
Visiter sur Youtube la salle aux secrets
Encore une excellente manière de présenter le gite XD En tout cas... Il y a un sadique qui imagine de nombreuses idées pour occuper sa future clientèle ^^
Expérience que je ferai avec plaisirs
jolie séjour j adore
Merci pour l'histoire très inspirante
Très belle histoire, vivement l'ouverture du gîte bravo à vous, bisous, Fifine
Une très jolie histoire qui peut tout à fait se réaliser. Ca donne envie
Cela fait rêver
Je confirme, cela fait rêver j'ai trop envie de venir passer une semaine au gîte, cela m'aidera sûrement à vaincre ma timidité.
Une très belle histoire qui me fait rêver de vacances en Espagne. Merci beaucoup
Cela fait effectivement rêver alors que c'est du vrai et possible de venir vivre ces aventure. Je compte bien venir l'année prochaine
L'Art de nous mettre l'eau à la bouche pour nous pousser à prendre des vacances de rêve
Il faut que j'arrête de lire vos histoires ou je vais finir par craquer
Effectivement, cela fait craquer de savoir que c'est possible et ça donne envie
Je rêve d'arriver à convaincre ma femme dominatrice à prendre des vacances chez vous dans ce gîte fabuleux.
Publicité en cours de chargement